Maison de Tsuna

J'entre discrètement et embrasse le front du Decimo, le regardant toute la nuit en douceur.

A mon réveil je croise le regard doux du Primo posé sur moi. Un sourire étire ses lèvres tandis que j'étouffe un bâillement.
- 'Jour Primo... Vous avez passé une bonne nuit ?

- Magnifique. 
Je souris et caresse ses cheveux en douceur, toujours endormi.

Un sourire étire mes lèvres tandis que la main de Giotto dans mes cheveux fini de me réveiller en douceur. Je me remémore le baiser qu'il m'a donné hier soir et constate que je n'avais pas vraiment répondu à sa demande. Enfin... Si c'en était une.
- Gio'...pourquoi tu m'as embrassé hier ?

- Parce que je vous aime, Tsuna.
Je souris tendrement, posant comme la veille mes lèvres contre les siennes.

C'est drôle comme je me suis sentis bien d'apprendre qu'il m'aimait. Evidemment je suis un peu surpris mais je me sens aussi attiré par lui. Je ne fais rien pour le repousser et répond naturellement à ses lèvres. Je caresse sa joue tendrement et lui murmure:
- Je t'aime aussi...Gio'...

- Tsu... 
Des larmes de joie commence à couler le long de mes joues, heureux d'entendre ces mots. Je l'embrasse, tenant son visage avec mes deux mains.

Je souris au Primo et essuie ses larmes.
- Ne pleure pas...

- Tsu, je t'aime tant...
Je souris tendrement.

Je m'approche de lui et l'embrasse. Je passe mes bras autour de sa taille le rapprochant de moi.
-Gio'...

- Sí, Tsuna...?
Je le regarde et souris.

- Je n'ai jamais été aussi heureux...Ne me quittes pas...
Je pose ma tête sur son épaule.

- Jamais.
J'embrasse son front.

L'appel de ma mère me rappel à l'ordre. Je me lève et me prépare rapidement pour une énième journée au lycée. Je descend dans le salon et prend un petit déjeuner rapide. Giotto m'attend déjà dans l'entrée et je sors avec lui à mes côtés.
- Giotto... Tu vas me manquer...

- Qui t'as dis que je vais te quitter ?
Je souris mystérieusement, et pars dans son lycée avant lui, me préparant avec mes gardiens à être les professeurs des Decimo.

Je souris doucement à Tsuna, et le tire sur moi en fermant les yeux

Je me met auprès du Primo et l'embrasse tendrement, heureux que tout sois de nouveau normal.

Je souris tendrement et pose ma tête sur son torse

Je m'endors immédiatement récupérant les nuits que j'ai passé à veiller mon amant.

Je souris et m'endors à mon tour.

Je me réveille seul dans ma chambre. L'après midi est bien entamée et tout est normal dans ma chambre. Comme si Giotto n'était jamais venu et que les événements dernier n'étaient qu'un étrange rêve. Je me frotte les yeux et me rallonge. Mais mon estomac se met à gronder et l'odeur de la cuisine de ma mère me parvient. Les jacassements de Lambo aussi. Je soupire longuement et rejoins tout le monde dans le salon. Mon coeur fait un bon en voyant les cheveux blond et la silhouette noire du Primo dos à moi. Finalement tout était réel... Un sourire niais incontrôlable étire mes lèvres tandis que je prend place à côté de Giotto. Lambo s'exclame :
- Mama ! Tsunaze s'est enfin réveillé de sa sieste ! En plus durant son sommeil il arrêtait pas de baver et de marmonner "Non...Gio' "
- Eh ! Lambo ! Tais-toi !
Je me sens rougir et je vois la tablée se mettre à rire en regardant le mime de Lambo. Même Giotto. Je croise son regard et mon coeur fait un bond dans ma poitrine tandis que ma joie redouble. Je ris avec tout le monde un bon moment jusqu'à ce que ma mère apporte les plats.

- Et bien toi, Lambo tu baver en criant : "-Mama ! Des bonbons au raisins pour Lambo-San !" Au moins, le Decimo n'est pas assez narcissique pour rêver que de lui...
Je souris lorsque l'arcobaleno, I-Pin et mama rient à l'unisson

Je ris de plus belle en mêlant mes doigts à ceux du Primo et le regardant de temps en temps.

Je caresse ses doigts sous le table et souris, mais refuse la nourriture proposé avec un petit mot poli, et les regarde manger, heureux.

Je le regarde intrigué.
- Vous ne mangez pas Primo ?